Avec plus de 356 artistes, 350 titres, près de 1500 heures de musique, 8000 abonnés sur l’application en seulement 10 mois et près de 25 355 membres sur les réseaux sociaux d’une part, et grâce à un accord négocié avec la société congolaise des droits d‘auteur, SOCODA qui lui donne le feu vers d’exploiter l’ensemble du catalogue de musique congolaise d’autre part, BAZIKS a su séduire bon nombre de congolais et souhaite à présent passer à une nouvelle étape.
Quelques-uns de ses objectifs pour la rentrée 2018-2019
D’ici octobre 2018, une campagne de crowdfunding sera lancée. Il sera question de capter principalement la demande de la diaspora congolaise estimée à plus d’un million dans le monde à travers un dispositif de communication exceptionnel pour construire ainsi une véritable communauté des amoureux de la rumba congolaise autour du projet.
D’ici la fin de l’année 2019, BAZIKS procèdera au lancement de son offre payante tout en poursuivant le maillage de la scène émergente locale et le recrutement des nouveaux abonnés en République Démocratique du Congo. BAZIKS prévoit également de se déployer sur un marché de niche constitué des congolais de l’étranger et de fans de musique congolaise grâce a une antenne en France.
« Nous sommes fiers d’avoir atteint hors sentiers battus les 4 épreuves à savoir : la preuve de faisabilité, du concept, du positionnement et de la montée en échelle de notre produit grâce au prix Digital Lab Africa. Sans oublier l’appuis de l’Institut Français de Kinshasa qui a accompagné notre déploiement à Kinshasa. La fin de cette phase nous a permis de confirmer qu’il y a bel et bien une opportunité que nous devons à présent structuré autour de la mission que nous nous sommes donné. Nous pensons qu’avec une bonne stratégie et une bonne montée en charge que nous allons opérer dans les prochains jours, il sera possible de dégager une marge bénéficiaire pour séduire des potentiels investisseurs. » a déclaré Baya Ciamala, fondateur de BAZIKS.
Sakola.info