C’était au cours d’un échange dans lequel ces Jeunes ont opté pour : « les élections, la libérations des activistes, le bannissement des antivaleurs… »
La Présidente de l’Union Panafricaine de la Jeunesse Francine MUYUMBA a reçu cette semaine en son bureau d’accompagnement, les membres de la synergie des mouvements citoyens dénommée Un »1″. Cette rencontre avec l’interlocutrice valable de la Jeunesse Africaine a été marquée de convivialité et des fermes orientations.
L’explicitation de leur lutte, interpellation des autorités, promotion des initiatives des jeunes, mécanisation des Nouvelles Unités (NU) à la Fonction Publique et la libération des Jeunes activistes ont constitué le mémo remis à madame Francine Muyumba pour faire parvenir à qui de droit.
Ainsi elle leur a exhorté d’opter pour le bon combat par un soutien massif des candidatures des jeunes aux élections pour leur accès sur la table de prise de décision, en vue du renouvellement de la classe politique. Aussi la prise en compte du développement économique et intérêts des Jeunes.
Les Jeunes Congolais des mouvements citoyens membre de cette synergie ont donc fait œuvre utile d’expliciter les causes de leur combat pour l’intérêt supérieur de la nation, mais surtout, ont-ils fait savoir, ils militent pour l’autonomisation des Jeunes et luttent contre toute forme de manipulation politicienne. Dans un face à face avec la porte voix de la Jeunesse au niveau du continent, ces Jeunes ne sont pas passés par le dos de la cuillère. Tout a été passé au crible sur les problèmes rencontrés par la Jeunesse Congolaise des mouvements citoyens. D’après leur porte parole, ils sollicitent entre autres, la libération de plusieurs de leurs camarades incarcérés depuis plusieurs mois pour, disent – ils, leur engagement dans la lutte citoyenne, notamment Carbone Beni , Grâce Tshiunza, palmer Kabeya, Rachel Piment , Mino Bopomi et Cedrick Kayembe. En soulignant différents maux qui gangrènent la jeunesse congolaise de manière générale.
Ainsi ils ont tenu a explicité à Francine Muyumba en sa qualité de n°1 de la Jeunesse Africaine, d’établir un pont entre la Jeunesse engagée et les autorités compétentes, parce que, ont-ils souligné les mouvements citoyens ne sont pas ennemies du pouvoir, mais revendiquent des valeurs citoyens et démocratique. Dans leurs lutte ils estiment que l’avenir du pays est menacé par des politiques et des scientifiques en mal de positionnement ce qui fait qu’ils soient accusé à tort d’être le maux de la République.
L’année 2018 étant une année électorale, la Présidente de l’UPJ a saisi cette occasion avec des mots clair pour leur encourager et exhorter de faire le bon combat en ayant le regard figer vers les grands enjeux de l’heure qui sont les élections. Ainsi la jeunesse doit se préparer pour un apport considérable dans la lutte pour le renouvellement de la classe politique car seules les élections demeurent la voie légale pour mieux accéder à la table de prise de décision. Francine Muyumba leur a conscientisé en arguant « Le vrai changement, c’est sur la table de décision. Alors il est temps de se mettre ensemble pour soutenir la représentation des jeunes et des femmes dans les élections. Et de tout faire pour bannir les antivaleurs » « Focalisons nous sur les concrets » A-t-elle martelé pour éveiller la synergie des mouvements citoyens congolais.
Sur la question économique, l’accent est placé sur la mise en oeuvre de la loi sur la sous-traitance, pour l’entrepreneuriat des jeunes. Ensemble ils ont résolu de dire non, à la manipulation des politiques dont fait objet la jeunesse, manigancée par des prédateurs qui prennent les jeunes pour des marches pieds bafouant les intérêts de la jeunesse lors du partage du gâteau.
Sakola.info