Tout travail mérite jnsalaire, est-ce que l’écrivain Congolais peut-il vivre de son travail? Une question difficile à répondre car le pouvoir d’achat de l’homme Congolais ne lui permet pas d’avoir accès aux oeuvres littéraires produits par les écrivains Congolais.
Par conséquent, les hommes de lettres ont du mal à évacuer leurs ouvrages sur le marché Congolais du livre. Certaines personnes par contre disent haut et fort que les écrivains ne communiquent pas suffisamment autour de leurs ouvrages comme les font les autres artistes de la République Démocratique du Congo. La plus grande question que nous devons nous poser est la suivante :Que faire pour palier à ce déficit communicationnel?
Comme tous les artistes, l’écrivain Congolais doit considérer tout d’abord son Art comme un métier à part entière et devra nourrir son Homme. C’est pourquoi l’écrivain Congolais a le devoir d’organiser tout en ayant des personnes qui l’accompagnent entre autre, un chargé de communication qui organise et met en place une stratégie de communication enfin de faire passer le message à chaque fois qu’il y a une information de taille pour le public.
Le chargé de communication doit à la mesure du possible organiser la conférence de presse au cas où l’écrivain avec qu’il travaille lance un nouveau livre ,question de permettre à un public plus large d être au courant du nouveau livre publié dans le sphère littéraire congolais.
Nous pensons qu’en ayant, l’habitude de communiquer autour des activités littéraires, l’écrivain congolais a plus de chance de se faire connaître et vendre ses livres tant bien que mal car un principe de relation publique stipule ce qui suit, bien faire et le faire connaître.
Il est toujours important de communiquer autour de ses activités car même les grands noms de la littérature de part le monde communiquent toujours à chaque fois que l’actualité littéraire l’oblige.